Le monde de l’apprentissage est en train de changer et les élèves en demandent plus. Ils ne veulent pas seulement des connaissances, ils veulent un but, une expérience pratique. Ils recherchent une éducation qui leur permet de saisir de réelles opportunités, d’acquérir des compétences essentielles et de les préparer à ce qui les attend. Les écoles, les communautés et les industries ont la responsabilité de relever ce défi de front.
Ce samedi, les élèves de l’école privée La Collégiale ont souhaité relever ce défi de lier expérience pratique et ouverture au monde dans le cadre de la journée du 08 mars, célébrant la journée internationale de la femme. Nos élèves ont brillamment honoré cet évènement dédié à la femme avec des discours divers (persuasif, informatif et divertissant), sans s’y limiter. C’est dans une discussion feutrée et instructive que les deux panélistes du jour, en l’occurrence Mariéme Diouf

, auteure et scénariste, et Judith Ekwalla, promotrice culturelle et auteure, entre autres, ont essayé de redonner confiance aux enfants pour leur avenir en tant que femmes.

Les discussions ont en effet porté sur le lien entre l’art et l’engagement des femmes, la valeur unique de la femme dans un monde de plus menacé par des pathologies culturelles, les performances extraordinaires dont font preuve les femmes à l’échelle globale ainsi que leurs luttes touchantes au quotidien.
Pour marquer la solennité de la journée, nos élèves se sont habillées en tout blanc, symbole de la paix, de la concorde et du dialogue entre hommes et femmes. Comme pour dire que les élèves ont besoin de mentors pour évoluer, progresser, pratiquer de nouvelles expériences et saisir de nouvelles opportunités.
El Hadji THIAM, coordinateur pédagogique du programme d’activités de La Collégiale.